Pōhutukawa

Menaces pour pōhutukawa et rātā

Opossums

Comme les populations d’opossums se sont constituées dans les zones forestières, il y a eu une perte correspondante de certaines de nos espèces forestières.

Les opossums parcourent un large éventail de plantes mais montrent de fortes préférences pour certaines espèces comme le rātā et le pōhutukawa.

Les arbres Rātā et pōhutukawa ne tolèrent pas le broutage soutenu des opossums. Un arbre mature peut être tué en trois ans avec un broutage intensif et même les jeunes arbres, bien qu’ils puissent survivre plus longtemps, finiront par mourir s’ils sont parcourus régulièrement.

Lorsque les arbres parcourus meurent, la canopée, ou couche supérieure de la forêt, est ouverte. Cela expose d’autres arbres au vent et aux dommages causés par les tempêtes, les insectes, l’invasion des mauvaises herbes et les maladies.

Rouille du myrte

Pōhutukawa et rātā font partie de la famille des myrtes. Ils sont tous menacés par la maladie fongique de la rouille du myrte qui est maintenant établie en Nouvelle-Zélande.

Autres menaces

Les autres menaces sont les suivantes.

  • Les gens endommagent les arbres en utilisant leurs branches pour le bois de chauffage, en allumant des feux sous eux et en stationnant des voitures sur leurs racines.
  • Les mauvaises herbes et les herbes empêchent souvent la régénération en étouffant les jeunes plants.

Notre travail

DOC travaille en étroite collaboration avec d’autres agences telles que le projet Crimson pour restaurer l’habitat rātā et pōhutukawa sur le continent grâce à des programmes d’éducation et de végétalisation.

Le DOC et d’autres organismes mènent également des opérations de contrôle continu de l’opossum. Pour rātā, les opérations couvrent de vastes zones de forêts dominées par les rātā du nord et du sud de la Nouvelle-Zélande continentale. Pour pōhutukawam, les travaux se poursuivent dans les principaux sites côtiers de l’aire de répartition naturelle de pōhutukawa (Nord de l’île du Nord).

Avec la rouille du myrte, des recherches et un suivi sont en cours pour déterminer l’impact de la maladie sur nos espèces d’arbres indigènes.

Tout ce travail contribuera à assurer la survie continue de ces importantes espèces forestières emblématiques.

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