Test de lanterne de Farnsworth

Les erreurs des patients présentant un déficit de couleur ont tendance à être de deux types. La première est d’appeler à tort la lumière blanche le complément des couleurs présentées. Par exemple, le rouge-blanc est dit « rouge-vert », ou le vert-blanc est appelé « vert-rouge ». La seconde est lorsqu’une paire de lumières de la même couleur mais dont la luminosité diffère de 50% est affichée, la couleur identique la plus brillante est dite « blanche ». Par exemple, le vert (faible)-vert (brillant) est appelé « vert-blanc ». Les dichromates, par définition, ne peuvent distinguer aucune des couleurs et ne font que des réponses correctes en devinant au hasard.

La description de l’achat Médical militaire spécifie les lumières dans le FALANT en termes de pourcentage de transmittance lumineuse et de coordonnées de chromaticité CIE x, y de 1931, calculées à partir de l’Illuminant A, à partir de mesures spectrophotométriques des composants du filtre en verre qui composent la lanterne. L’illuminant A est approximé par une lampe au tungstène T8 de 115 volts et 40 watts à l’intérieur du FALANT.

De par sa conception, le FALANT permet aux conditions bénignes de daltonisme de passer le test, tout en excluant la plupart des cas modérés ou graves de déficience en couleur. Le test est destiné à imiter les types de situations nécessitant une vision des couleurs qu’un marin trouverait en servant à bord d’un navire. Un test de réussite n’est pas une erreur dans les neuf premières paires, ou seulement deux erreurs dans les dix-huit présentations présentées au candidat.

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